J’ai dit ton nom trop souvent…avec toi et de toi, avec toi et trop peu de moi. Peut-être c’est-il le signe que tu vas dégeler mon cœur… et les mots ne vont plus faire souffrir. Je pourrais m’habituer avec toi, avec tes rêves que tu me partages avec tant d’enthousiasme, avec la sensation chaude de me blottir dans la cité de ton corps. Je pourrais m’accoutumer nous sentir comme dans une fantaisie, comme… les niais qui n’ont que de sentiments…des illusions des âmes qui s’entendent sans mots…bien que la mienne soit trop loin… je pourrais m’habituer avec toi…avec nous…
Je me suis perdue dans le brouillard en me cherchant, et… c’est toi qui m’as découvert…jusqu'à ce que tu m’ais perdu derechef… si tu avais eu le pouvoir de me découvrir de nouveau…et de nouveau…
Et néanmoins… je suis captive entre passion et silence. Un chemin me dirige vers toi… je ferais tout pour toi, je pourrais faire ce tout, rien ne m’empêcherait, je pourrais me vouer totalement à toi et n’y attendre rien, n’espérer rien, ne souffrir rien, ne regretter rien, ne désirer plus rien… autre chemin me dit d’attendre de venir ensemble envers le même point… peut-être serait-il plus équilibré ainsi.
Peut-être me suis-je bloquée sur mon chemin envers le bonheur en essayant d’y arriver avec l’esprit par le corps…et maintenant… maintenant tu viens me dire que « Non, ce monde fou veut de façon inverse… de corps à l’esprit puis au bonheur »…
Je cherche quelque chose,, je ne me permets pas de nier tes paroles, même si je ne veux pas les croire. Si tu joues avec ces mots c’est parce que tu n’as pas reçu la leçon de leur importance… si tu t’es jamais demandé pourquoi je ne suis pas directe et pourquoi j’enveloppe les mots... c’est parce que les mots tuent parfois… ce n’est pas moi qui trouve les mots avec contenu, mais toi qui les ressuscites… comme tu l’as fait avec moi aussi…
Je me suis perdue dans le brouillard en me cherchant, et… c’est toi qui m’as découvert…jusqu'à ce que tu m’ais perdu derechef… si tu avais eu le pouvoir de me découvrir de nouveau…et de nouveau…
Et néanmoins… je suis captive entre passion et silence. Un chemin me dirige vers toi… je ferais tout pour toi, je pourrais faire ce tout, rien ne m’empêcherait, je pourrais me vouer totalement à toi et n’y attendre rien, n’espérer rien, ne souffrir rien, ne regretter rien, ne désirer plus rien… autre chemin me dit d’attendre de venir ensemble envers le même point… peut-être serait-il plus équilibré ainsi.
Peut-être me suis-je bloquée sur mon chemin envers le bonheur en essayant d’y arriver avec l’esprit par le corps…et maintenant… maintenant tu viens me dire que « Non, ce monde fou veut de façon inverse… de corps à l’esprit puis au bonheur »…
Je cherche quelque chose,, je ne me permets pas de nier tes paroles, même si je ne veux pas les croire. Si tu joues avec ces mots c’est parce que tu n’as pas reçu la leçon de leur importance… si tu t’es jamais demandé pourquoi je ne suis pas directe et pourquoi j’enveloppe les mots... c’est parce que les mots tuent parfois… ce n’est pas moi qui trouve les mots avec contenu, mais toi qui les ressuscites… comme tu l’as fait avec moi aussi…
2 comments:
C'est joli
Merci beaucoup. J'apprecie :]
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